https://www.investmentexecutive.com/news/advisor-incorporation-a-hot-potato/
The Canadian Investment Regulatory Organization (CIRO) is pushing to expand advisor incorporation rules so that **investment fund representatives can incorporate and access tax advantages**, similar to mutual fund reps. However, the **Canada Revenue Agency (CRA) says the issue is outside its scope**, leaving CIRO waiting for feedback and industry players frustrated by the delay.
Laura Paglia, president and CEO of the Canadian Forum for Financial Markets, agrees with the CRA that **CIRO should handle the incorporation decision**, not the tax agency. She calls the file a “hot potato” that has been “unnecessarily delayed” by debates over tax treatment and disagreements among firms. Paglia argues CIRO’s role is to **level the competitive playing field** and end the current “unfair patchwork” that denies some advisors the same tax-efficient structure available to others.
Matthew Latimer, executive director of the Federation of Independent Dealers, adds that allowing all advisors to incorporate would foster harmony and competition** without harming investors. He notes that advisor incorporation has operated for years without known investor harm and urges CIRO to **permit investment-dealer approved persons to incorporate** without disrupting the mutual-fund side
L’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) veut élargir les règles d’incorporation des conseillers afin que **les représentants de fonds d’investissement puissent constituer une société et bénéficier d’avantages fiscaux**, tout comme les représentants de fonds mutuels. Toutefois, **l’Agence du revenu du Canada (ARC) estime que la question ne relève pas de son mandat**, laissant l’OCRI en attente de commentaires et les acteurs de l’industrie frustrés par le retard.
Laura Paglia, présidente et chef de la direction du Forum canadien des marchés financiers, convient avec l’ARC que **l’OCRI devrait décider de l’incorporation**, et non l’agence fiscale. Elle qualifie le dossier de « patate chaude » qui a été « inutilement retardé » par des débats sur le traitement fiscal et des désaccords entre les firmes. Paglia soutient que le rôle de l’OCRI est de **niveler le terrain de jeu concurrentiel** et de mettre fin au « patchwork inéquitable » actuel qui prive certains conseillers d’une structure aussi efficace sur le plan fiscal que celle offerte à d’autres.
Matthew Latimer, directeur général de la Fédération des courtiers indépendants, ajoute que **permettre à tous les conseillers de s’incorporer favoriserait l’harmonie et la concurrence** sans nuire aux investisseurs. Il note que l’incorporation des conseillers existe depuis des années sans qu’on ait constaté de préjudice pour les investisseurs et exhorte l’OCRI à **autoriser les personnes agréées des courtiers en placement à s’incorporer** sans perturber le secteur des fonds mutuels.